Tu es Buelliste ? Paris et L’IDF ne veulent pas de toi !!!

de toute façon , j'aime pas Paris, les grandes villes en général et ma Buell refuse d'aller dans le nord .....passé Cahors ...

ON/OFF a écrit:

En admettant que cette loi soit effective, que ferez vous des véhicules frappés d' interdiction ????
Les garder jusqu’à l’obtention d'une cg collection ??
Les vendre, oui mais a qui ???

Trouvé sur la toile
http://www.remboursemabagnole.com/

ben il y a déjà quelques annonces de vente pour motif d'achat de véhicule plus récent...
mais à mon avis, ça va être long vu le parc auto conséquent !

Paris : comment la piétonnisation des voies sur berges va surcharger le trafic des autres rues

Sur certains axes, plus de 600 véhicules supplémentaires par heure sont attendus à partir de septembre, date de la fermeture de la voie Georges-Pompidou.






Gare aux bouchons. À partir du mois de septembre 2016, il n'y aura plus de voitures sur la voie Georges-Pompidou située sur la rive droite des berges de la Seine à Paris. En décembre dernier, le Conseil de la ville a validé le projet de piétonnisation d'un tronçon long de 3,3 kilomètres sur cette voie rapide, du tunnel des Tuileries (Ier arrondissement) au bassin de l'Arsenal (IVe). Cette mesure, défendue par Anne Hidalgo dans une volonté de réduire la place de la voiture dans la capitale, aura inévitablement pour effet de reporter une partie du trafic routier sur les rues et avenues adjacentes.

Afin d'anticiper ce phénomène, la préfecture de police et la mairie de Paris ont fait appel à Systra, une société d'ingénierie financée par la SNCF et la RATP, pour mener des simulations. Plusieurs scénarios ont été envisagés, car plusieurs projets d'aménagement ne sont pas définitifs ou attendus dès la fermeture de la voie Georges-Pompidou, mais aussi parce qu'il existe encore des incertitudes sur la baisse réelle de trafic qui sera engendrée (entre 1,5% et 5%). Les résultats de trois études, dévoilées dimanche 22 mai par Le Parisien, montrent que les automobilistes risquent de devoir faire face à de nombreux ralentissements.
LA MAIRIE NE CRAINT PAS D'EMBOUTEILLAGES
Sur trois des quatre projections réalisées, il s'avère que les axes routiers le plus touchés seront : les quais hauts rive droite, les quais rive gauche (en particulier vers l'ouest), le boulevard des Italiens, le boulevard Saint-Martin et enfin l'avenue Foch. À l'heure de pointe en soirée, les quais haut rive droite devraient ainsi accueillir entre 650 et 720 véhicules supplémentaires par heure. Sur le boulevard des Italiens, direction est, ce sont entre 510 et 500 véhicules par heure de plus qui devraient circuler dès septembre.

Autant de chiffres conséquents qui n'inquiètent pas outre mesure la mairie de Paris. Dans un entretien accordé au quotidien, Christophe Nadjovski, adjoint aux transports d'Anne Hidalgo, affirme que ces simulations sont "souvent plus pessimistes que ce qui se passe dans les faits". Selon lui, les voies où le report du trafic sera le plus important "ont une capacité d'absorption telle qu'il n'y aura pas de saturation".

http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/paris-comment-la-pietonnisation-des-voies-sur-berges-va-surcharger-le-trafic-des-autres-rues-7783353067

Restrictions de circulation : La mairie de Paris peu inquiétée par les menaces de l’association 40 millions d’automobilistes


La menace de l’association 40 millions d’automobilistes de mener une action collective pour que les Franciliens touchés par les mesures de restriction de circulation dans Paris obtiennent une indemnisation ne fera pas dévier la mairie de ses priorités, a déclaré Christophe Najdovski, adjoint à la maire de Paris.


Pour lutter contre la pollution de l’air, la mairie de Paris a prévu de mettre en place des restrictions de circulation à compter du 1er juillet 2016 (les poids lourds les plus anciens sont déjà concernés depuis 2015). A partir de cette date, tous les véhicules particuliers et utilitaires immatriculés avant le 1er juillet 1997 ne pourront plus circuler dans Paris intra-muros entre 8h00 et 20h00 (sauf le WE). Cette interdiction de circulation s’élargira ensuite chaque année à d’autres véhicules de façon à ce qu’en 2020 seuls les véhicules Euro 5 et 6 soient autorisés à la circulation aux côtés des véhicules électriques.
Comme l’a expliqué Christophe Najdovski, adjoint à la maire de Paris en charge des transports, lors d’un débat organisé par Autoactu.com, ce plan répond à une triple nécessité. D’une part la France est sous la menace d’une lourde amende de la part de la Commission européenne parce que le niveau maximum d’exposition quotidienne aux particules fines autorisé est largement dépassé dans plusieurs villes de France dont Paris. D’autre part, "la lutte contre la pollution de la qualité de l’air est un enjeu sanitaire puisque 90% de la population parisienne est exposée quotidiennement à des niveaux d’émissions de NOx et de particules nettement supérieurs aux niveaux autorisés". Enfin, c’est un enjeu économique, "le coût économique de la pollution de l’air étant estimé à 100 milliards d’euros (en France, NDLR)", a défendu M. Nadjovski.
Néanmoins, ce plan n’est pas accueilli favorablement par tout le monde. Pour preuve la manifestation surprise de la Fédération Français des Motards en Colère devant le lieu du débat organisé par notre rédaction avec M. Najdovski (voir photo) !
L’association 40 millions d’automobilistes a pour sa part annoncé la semaine dernière sa volonté de lancer une action collective pour indemniser les automobilistes lésés par ces interdictions de circulation. D’après les estimations de l’association, plus de 870 000 véhicules seront concernés au 1er juillet 2016. Or, considérant que ces vieilles voitures qui valent en moyenne 2 000 et 2 500 euros subiront une décote de 50% minimum, leurs propriétaires pourront difficilement en tirer plus de 1 000 euros. En prenant une dévaluation moyenne de 1 000 euros, le préjudice global pour les seuls véhicules d’avant 1997 serait donc de 870 millions d’euros.
"Une affaire de priorité"
Interrogé sur cette menace avant tout médiatique, Christophe Najdovski a estimé qu’elle "émane d’une association qui défend des intérêts particuliers, qui aime faire parler d’elle et qui le fait très bien". "L’association chiffre le préjudice à près d’un milliard d’euros. Or, évoquer les 100 milliards d’euros que coûte chaque année la pollution de l’air suffit à clore le débat sur les priorités à défendre", a-t-il dit. En clair, la mairie ne pliera pas.
D’autant que les chiffres présentés par l’association sont totalement surévalués, selon l’adjoint d’Anne Hidalgo. "Actuellement, 400 000 véhicules circulent quotidiennement dans Paris intra-muros. Les premières restrictions de circulation concerneront 6 à 7% de ces véhicules, soit un maximum de 25 000 véhicules."
Il a également souligné que les interdictions de circulation ne sont valables qu’en semaine et en journée et qu’il ne s’agit donc pas de faire "de l’obsolescence programmée". "La ville de Paris propose aujourd’hui un panel d’offres de mobilité qui permet tout à fait de se passer de la voiture dans la capitale en semaine. D’autant qu’il existe des parcs relais dans lesquels les Franciliens peuvent déposer leur voiture pour prendre ensuite un autre moyen de transport", a-t-il défendu en substance.
Avant de se lancer dans cette action judiciaire, l’association 40 millions d’automobilistes a longtemps proposer d’inciter plutôt les propriétaires des véhicules les plus anciens à installer des systèmes de dépollution disponibles en seconde monte. Une proposition à laquelle la maire de Paris est restée sourde jusqu’ici. "Le rétrofit est une solution plutôt adaptée aux véhicules lourds et elle a par exemple été utilisée par la RATP pour faire passer ses bus Euro 2 aux normes Euro 4. Cette solution pourrait être appliquée aux véhicules particuliers mais ce ne serait qu’un sursis", a expliqué M. Najdovski.
Emilie Binois

Des juillet donc, l’interdiction de circulation s’appliquera, durant la semaine, aux véhicules particuliers de classe 1 (antérieur à 1997) – qui représentent encore 10 % du parc de voitures circulant à Paris – ainsi qu’aux deux-roues motorisés antérieurs au 31 mai 2000. Puis en 2020, ce seront les véhicules antérieurs à 2010 qui seront bannis.




Source: http://francais-express.com/actualite/france/-7583-les-voitures-d-avant-1997-interdites-de-circulation-dans-paris-a-partir-du-1er-juillet/

antérieure à 2010 ça devient délirant...
il y avait une page sur le site de la mairie de paris qui détaillait les mesures à venir, me semble qu'il y a à même un moment où la barre est en 2014..

Encore dans le délire, regardez ce qu'il va nous arriver très certainement bientôt !!!

https://www.lesfurets.com/assurance-moto/actualites/deux-roues-motos-et-scooters-devront-ils-payer-pour-se-garer-a-paris

Deux-roues : motos et scooters devront-ils payer pour se garer à Paris ?

Paris a décidé de lutter contre la pollution au cœur de la ville. Et cela passe aujourd'hui par l'éventualité de faire payer le stationnement aux deux-roues thermiques.

stationnement-scooter-payant-paris
On le sait, la volonté de la maire de Paris, Anne Hidalgo, est de rendre la capitale plus propre. Pour faire baisser la pollution, elle a déjà mis en place quelques actions comme la journée sans voiture ou encore l’interdiction de circuler pour certaines motos.

Car, rappelons-le, les motos construites avant 2000 n’auront plus le droit de circuler dans le centre de Paris à compter du 1er juillet 2016. Cette décision avait déjà soulevé la colère de la FFMC, la Fédération Française des Motards en Colère, qui avait remis en question la pertinence de cette décision, avançant que la circulation à moto contribue à fluidifier le trafic et donc à réduire les émissions de polluants. D’autre part, la FFMC dénonçait alors l’impact de cette mesure sur les conducteurs les moins aisés qui n’ont pas les moyens d’acheter une moto plus récente.

Et les conducteurs de deux-roues ne risquent guère d’apprécier la dernière déclaration de Christophe Najdovski, adjoint au maire de Paris en charge des transports, qui souhaite que le stationnement devienne payant pour les deux-roues thermiques. Avec cette mesure, la mairie de Paris souhaiterait favoriser les deux-roues électriques pour limiter la pollution. Elle s’appuie sur les évaluations d’Airparif qui affirme que les deux-roues sont responsables de la moitié des émissions de polluants.

on est bien a la campagne....

pour sûr

regarde le vis a vis chez moi

greg a écrit:

pour sûr

regarde le vis a vis chez moi

Heureusement que le maire de Paris n'est pas celui de ton village car elle aurait foutu et un pot catalytique dans le cul de la pauvre biche...

Tu crois pas si bien dire, les pets de vache polluent plus que les véhicules à moteur

http://www.ledauphine.com/france-monde/2016/06/01/pollution-vers-un-retour-de-la-vignette-automobile



VIGNETTE AUTOMOBILE




Autocollants verts, bleus, gris... Ségolène Royal prépare une nouvelle mouture du dispositif "Crit'Air", qui doit permettre d'identifier les véhicules les plus polluants. Six pastilles sont prévues.
"Crit'Air" devait entrer en vigueur en janvier, puis au printemps. Ce projet de pastilles de couleur, qui correspondent à des émissions polluantes des véhicules (particules et oxydes d'azote) avait finalement été remisé. On le croyait même enterré. Pas du tout ! Un arrêté ministériel est prêt à être signé, déjà publié sur le site du ministère de l'Écologie, ainsi que l'a repéré Le Figaro. Il pourrait entrer en vigueur dès le 1er juillet prochain.
Six pastilles de couleur








Défendu par Ségolène Royal, ce projet contient six pastilles de couleur. "Seuls les propriétaires de véhicules immatriculés après le 1er janvier 1997 et de deux roues motorisés commercialisés après le 1er juin 1999 pourront faire leur demande", explique Le Figaro. La sixième pastille est aussi réservée aux véhicules électriques.
D'abord à Paris, puis...








Pour l'heure, ce dispositif est basé sur le volontariat. Les automobilistes devront en faire la demande. Facultatif donc... sauf pour ceux qui souhaitent circuler à Paris, à partir du 1er juillet. D'autres villes, qui ont mis en place des zones à circulation restreinte pourront ensuite utiliser ce dispositif. Bordeaux, mais aussi Grenoble ou Strasbourg seraient intéressées.
Quel prix, quelles démarches ?







On ne connaît pas encore le prix, ni les démarches à effectuer pour obtenir cette "éco-vignette". Mais, en cas d'absence de pastille là où elles seront obligatoires, une amende de 35 euros est prévue à parti de la rentrée. Celle-ci passera à 78 euros au 1er janvier 2017.
Reste à savoir si Ségolène Royal parviendra à faire passer ce dispositif, en pleine fronde sociale. La ministre a déjà dû reculer à deux reprises, notamment à l'issue d'une concertation. Cette fois-ci, le décret est prêt - vous pouvez le consulter ici - mais n'a pas encore paru...



http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/16-0340_5B_arrete_classification_CQA_version_definitive.pdf

http://www.developpement-durable.gouv.fr/Etat-d-avancement-de-la-mise-en.html

Il est temps de rappeler l'évolution des interdictions prévues pour vous alerter sur le danger impact de ces mesures
2016 = autos < 07/1997 + moto < 06/2000
2017 = idem + diesel < 01/2001 + motos < 07/2004 (en projet)
2018 = idem + diesel < 01/2006 + motos < 06/2015 (en projet)
2019 = TOUTE AUTO < 01/2011 + motos <06/2015
Donc en résumé : dans 3 ans, vous n'aurez plus la liberté de circuler avec une MOTO de plus de 4 ans !!!!
et une AUTO de plus de 8 ans !!!!
Ce document est publié par le site http://www.autoactu.com/la-ville-de-paris-se-dirige-vers-un…
à la suite de l'intervention de C. Najdovski du 24 mai 2016.
Je n'invente rien. Il montre fort bien la progression communiquée par la Mairie aux professionnels du secteur auto.

Aucune idée que ce soit vrai ou faux

https://fr-fr.facebook.com/photo.php?fbid=1206686316038202&set=gm.901390489969949&type=3

Il n'y a pas beaucoup de Buelliste

Voici le vrai responsable de toute cette merde c'est cet écolocon !

N'hésitez pas à mettre la vidéo sur d'autres forums !!!

http://paris.eelv.fr/2-millions-deuros-pour-laccueil-des-refugie-es-a-paris/



Comment ils vont pouvoir s'acheter une voiture les réfugiés d'hidalgo ?




2 millions d’euros pour l’accueil des réfugié-es à Paris

A l’instigation des écologistes, et faisant suite à l’annonce de la maire de Paris en faveur d’un camp humanitaire, 2 millions de budget de fonctionnement viennent d’être alloués par le Conseil de Paris à l’unanimité pour l’accueil et l’hébergement des réfugié-es.

« L’annonce d’Anne Hidalgo concernant l’ouverture d’un camp humanitaire dans Paris est une bonne nouvelle. Maintenant il s’agit de passer à l’acte, ainsi les écologistes ont souhaité que le budget supplémentaire 2016 marque un tournant dans la prise en charge des réfugié-es à Paris », explique Anne Souyris, co-présidente du groupe écologiste de Paris.

Dans la droite ligne de ce que la maire de Paris a initié en annonçant la création d’un centre sans attendre le gouvernement, le groupe écologiste souhaite que “la ville initie la mise en place concrète non seulement d’un centre d’accueil et d’orientation mais de multiples centres dans les arrondissements parisiens dans toute l’Île-de-France. C’est tout le sens de ces 2 millions d’euros” souligne David Belliard, co-président du groupe écologiste de Paris.

“Un accueil  à la hauteur des besoins des publics les plus fragiles, notamment les mineurs isolés et les femmes seules avec enfants, doit être rapidement mis en œuvre dans Paris” estime enfin Aurélie Solans, conseillère de Paris du 19ème arrondissement.

Et les président-es écologistes de Paris de conclure : “Nous espérons que ces deux millions seront un levier pour convaincre le gouvernement à agir et à mettre lui-même la main à la pâte. Il est évident que cette somme n’est qu’une mise de départ. En quelque sorte une aide à la décison”.

Anne Souyris et David Belliard, co-présidents du groupe écologiste de Paris
Aurélie Solans, conseillère de Paris, élue du 19ème arrondissement

"il dit qu'il voit pas le rapport... "

http://auto.bfmtv.com/actualit [...] 82721.html



Le plan d’Anne Hidalgo pour interdire le diesel de Paris en 2020


La maire de Paris l’a rappelé: en 2020, aucun diesel ne sera plus autorisé à rouler dans les rues de Paris. Eviction progressive des plus anciens véhicules, mais aussi mesures contraignantes pour le trafic et concertation au niveau de la région doivent lui permettre d’atteindre cet objectif.

La fin du diesel à Paris en 2020, Anne Hidalgo l’avait déjà annoncé fin 2014. "Je veux la fin du diesel à Paris en 2020, et si possible au-delà du périphérique", déclarait-elle alors au JDD. La maire de Paris n’a pas varié de ligne et construit depuis lors son plan d’éviction de la capitale de tous les véhicules au mazout . Avec beaucoup de détermination, mais aussi pas mal de flou pour arriver jusque 2020.

Des interdictions ciblées sur les véhicules

En février 2015, le conseil de la Mairie de Paris a voté le plan anti-pollution de la maire, qui s'est concrétisé au 1er juillet 2015 par une première étape: l’interdiction de circuler dans Paris des autocars essence comme diesel immatriculés avant octobre 2001.

La seconde étape du plan est l’interdiction de la circulation des véhicules particuliers essence comme diesel immatriculés avant le 1er janvier 1997 à partir du 1er juillet 2016. Ces vieilles voitures seront bannies de la capitale entre 8 et 20 heures en semaine, mais libre de circuler le week-end et la nuit.

La Mairie a cependant établi une liste de dérogations à cette interdiction, pour les commerçants des marchés parisiens, mais aussi les propriétaires de voitures de collection ou des professions comme les médecins ou qui ont fait d’une voiture ancienne un outil commercial.


A Lire : Les véhicules de plus de 20 ans interdits dans Paris au 1er juillet
Inciter les Franciliens à prendre les transports

Parallèlement aux interdictions de circulation des véhicules, la Mairie de Paris compte limiter tout simplement la circulation dans la capitale. Dès fin 2014, Anne Hidalgo avait confié certaines mesures, comme la création de zones semi-piétonnières dans les 1er, 2ème, 3ème et 4ème arrondissements de Paris, un tramway rue de Rivoli ou encore l’augmentation des zones 30 dans la capitale.

Après la fermeture des voies sur berge rive gauche, les voies sur berge rive droite fermeront définitivement à partir du 21 août, à l’arrêt de Paris Plage. "En semaine, on n’a pas besoin de voiture individuelle pour se déplacer dans Paris, nous déclarait le 11 mai Christophe Najdovski, adjoint au maire de Paris en charge des Transports. Les particuliers ont une palette de solutions pour circuler dans Paris. Nous avons par exemple lancé le Service de Véhicule Partagé, un nouveau service d’autopartage. Il y a aussi AutoLib. Il faut passer de la voiture individuelle à la multimodalité". En parallèle, la Mairie de Paris a mis en place des aides pour changer de véhicules, notamment pour les professionnels.

Quelle feuille de route après 2017?

Le plan anti-diesel d’Anne Hidalgo devient plus flou après le 1er janvier 2017. A cette date, la publication des décrets sur les Zones à Circulation restreintes (ZRC), prévues dans la loi de transition énergétique, permettra d’en bannir officiellement tous les véhicules sans pastille, de verbaliser les contrevenants (35 euros à partir du 1er octobre, 68 euros ensuite) et de jouer sur les différents niveaux de pollution sanctionnés par les pastilles mises en place par Ségolène Royal pour exclure plus de véhicules, même temporairement lors de pics de pollution par exemple.

"Anne Hidalgo fait de Paris un régime d’exception, conteste Fabrice Godefroy, président de l’association Diesèlistes de France. En voulant interdire tous les diesels dans Paris, elle ne tient pas compte des diesels les plus récents, Euro 5 et 6, qui dans le système de Ségolène Royal reçoivent une pastille".

Surtout, la maire de Paris va devoir négocier avec les élus régionaux, car ces décisions impactent tous les Franciliens. Christophe Najdovski a ainsi déjà avancé l’idée d’étendre l’interdiction de circulation des vieux véhicules à la petite couronne, pourquoi pas en 2017. Cette implication de la région semble un préalable avant la mise en place de nouvelles interdictions. Le communiqué de presse de la Mairie de Paris quant à l'interdiction du 1er juillet prévoit trois nouvelles vagues d'interdiction à des véhicules polluants, mais sans être plus précis sur le calendrier.

Mais en attendant, pour Fabrice Godefroy, les automobilistes se préparent à des jours difficiles: "70% des automobilistes roulent avec des véhicules diesel. Que vont faire les gens qui achètent ce type de modèles aujourd’hui? Anne Hidalgo va-t-elle les rembourser?"

Restrictions de circulation :

Anne Hidalgo pourrait accélérer sa lutte contre le Diesel dans Paris


Le calendrier des restrictions de circulation dans la ville de Paris après 2017 pourrait être modifié de façon à interdire les véhicules Diesel dans la capitale dès 2020, nous a indiqué une source proche du dossier.

En attendant la publication de l’arrêté relatif aux éco-vignettes, la mairie de Paris a refait un point sur les mesures de restriction de circulation qui entreront en vigueur le 1er juillet prochain pour les véhicules particuliers, les utilitaires légers et les deux-roues motorisés. Comme prévu, les véhicules particuliers et utilitaires Euro 0 et 1 (mis en circulation avant le 1er janvier 1997) et les motos mises en circulation avant le 1er juin 2000 ne pourront plus se déplacer dans Paris en semaine de 8h à 20h.

Pour les poids lourds, les bus et les cars, pour lesquels les premières restrictions ont été mises en place dès le 1er septembre 2015, les restrictions (7j/7 de 8h à 20h) s’étendront à partir du 1er juillet aux véhicules Euro 2 (mis en circulation avant le 1er octobre 2001).
“Ces premières restrictions concerneront au total environ 10 000 véhicules (dont 4 000 VP). Lorsque les restrictions s’élargiront à des véhicules plus récents au 1er juillet 2017, 17 000 véhicules supplémentaires seront concernés”, a précisé Christophe Najdovski, adjoint à la maire, en charge des transports.

Au 1er juillet 2017, les restrictions s’élargiront en effet aux Euro 2 Diesel (mis en circulation avant le 1er janvier 2001) pour les VP et les VUL et aux Euro 3 pour les PL, bus et cars. En revanche, l’adjoint au maire n’a pas révélé les prochaines échéances de ce plan qui se veut progressif et voué “à éradiquer le Diesel de la ville”. Pourtant, lors de la première présentation de son plan de la qualité de l’air en janvier 2015, la mairie de Paris avait donné des échéances jusqu’en 2019.

Un changement de calendrier pour les Diesel ?
Cette omission de la part de Christophe Najdovski tient au fait que la maire Anne Hidalgo envisage “d’accélérer la sortie des véhicules Diesel” afin qu’il soit totalement interdit dans la capitale dès 2020, nous a indiqué une source proche du dossier. “Le projet d’arrêté du gouvernement relatif aux éco-vignettes (baptisées crit’air, NDLR) donne les outils à la mairie pour interdire les véhicules Diesel mais Anne Hidalgo préfère le faire en coordination avec la métropole car la pollution ne s’arrête pas aux portes de Paris”, nous a expliqué cette source. L’interdiction de circulation des véhicules Diesel pourrait donc s’accélérer et même s’étendre à l’ensemble de la métropole du Grand Paris. Cette question devrait être tranchée d’ici la fin de l’année lorsque la métropole de Paris devra rendre son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) tel que l’a imposé la nouvelle loi de transition énergétique.

Arriver aux normes de l’OMS
L’accélération d’une sortie du Diesel dans Paris et à l’échelle métropolitaine serait de toute façon le seul moyen d’arriver à l’objectif que s’est fixé la mairie de Paris de réduire les polluants pour arriver aux normes fixés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Des normes d’émissions de polluants dans l’air qui sont plus sévères que celles imposées par l’Union européenne auxquelles la France ne répond pas encore (elle est d’ailleurs sous la menace d’une lourde amende pour cette raison). Par exemple, pour les particules, “nous devrions diminuer par plus de deux les émissions du trafic routier pour atteindre les normes de l’OMS”, a indiqué Christophe Najdovski.
“La lutte contre la pollution de l’air est un enjeu sanitaire crucial”, a insisté de son côté Bernard Jomier, adjoint d’Anne Hidalgo, en charge de la santé. “Les habitants des centres urbains perdent 6 à 9 mois d’espérance de vie uniquement à cause de la pollution qui n’est pas seulement un facteur aggravant des pathologies mais le déclencheur de nombreux problèmes respiratoires et cardio-vasculaires. Chez les enfants parisiens, nous comptons d’ailleurs 15% d’asthmatique et 35% d’allergique. Nous pouvons espérer voir les indicateurs de santé s’améliorer et les courbes de progression des pathologies s’inverser si nous atteignons en 2020 des niveaux de qualité de l’air compatibles avec les normes de l’OMS”, a-t-expliqué.
Emilie Binois


Quelles sanctions en cas de contrôle ?

Pendant les trois premiers mois de mise en place des restrictions de circulation, la Police pourra effectuer des contrôles mais elle ne sanctionnera pas les contrevenants. A partir du 1er octobre en revanche, le conducteur d’un véhicule non autorisé à circuler dans Paris sera sanctionné d’une amende de 35 euros s’il ne respecte pas l’interdiction de circulation. Cette amende pourra également sanctionner un conducteur qui n’affiche pas l’éco-vignette sur son pare-brise car si elle reste facultative à l’échelle nationale, elle sera obligatoire pour circuler dans Paris.
A partir du 1er janvier 2017, le montant de l’amende sera augmenté. Il passera à 68 euros pour un VP, un VUL ou un deux-roues et à 135 euros pour un PL, un bus ou un car.

Moi je trouve ça presque amusant ! Normalement ces mesures s’étendront dans toutes les grandes villes, et comme la maire Aubry aime bien faire tout et n'importe quoi, on est surement les prochains sur la liste à Lille.
Du coup, je ne pourais surement bientôt plus circuler avec ma Bubule et donc potentiellement aller au boulot (ça dépendra où mon patron me placera). Du coup, je vais trouver ça très drôle quand je dirai à mon patron que je ne vais pas bosser car la loi me l'interdit

Je bosse à Paris depuis près de 30 ans et j'habite en dehors. Quand on y réfléchit un poil et vu les conditions de transport individuels et collectifs chez nous, cette interdiction c'est le sens de l'histoire et je la comprends.
Interdit de rentrer dans Paris aux heures ouvrées (c.a.d qu'on a le droit le week end)?  Franchement avec les embouteillages de merde aux portes de Paris et dans Paris, faut prendre le métro c'est plus efficace.
Faire de l'embouteillage en Buell tous les jours? Faut être taré, inconscient et irrespectueux envers son tromblon (et accessoirement avoir les cuisses doublées en matériau anti feu)
Et si vous voulez allez bosser absolument dans Paris en 2 roues achetez vous un scoobite 125 d'occase, ça vous coutera toujours moins cher que de rembourser votre Buell tombée en carafe.  
Ceci étant dit, je n'ai jamais voté écolo de ma vie.

Qu'on soit bien d'accord : je suis à 200% pour des mesures écologiques. Je pense qu'il ne faut pas laisser une poubelle de terre à nos enfants (quoique c'est déjà raté avec le 7ème continent).
Cependant, je pense qu'il ne faut pas le faire en dépit du bon sens.
Interdire une veille twingo qui pollue probablement moins qu'une Porche Cayenne neuve... Je trouve ça aberrant.

et on est au pays du diesel, alors le chemin est long ...