Into the wild

Mais heureusement qu'on peut encore échanger et ne pas être du même avis ... ...

Je ne vois pas en quoi c'est "se la péter" que de donner son avis... ton avis est plutôt bien argumenté ... et nous sommes dans "Blabla" non ....

J'ai vraiment du mal à expliquer ce film, parce qu'on est dans le ressenti, ça touche à des sentiments, des situations peut-être vécues ou entrain de se vivre, et j'ai relégué tout ce que tu cites au rang des détails moi... comme quoi ... ....



Ps : je comprend tout à fait que ton côté féminin ne soit pas celui-qui t'interesse le plus....

NON et NON, mister SAURON, SEAN PENN ne surjoue pas dans mystic river. il se comporte comme une personne de sa condition social, avec son cararactere et surtout son passé.

Et c'est surement une volonté du grand CLINT que se contraste de comportement entre les deux amis d'enfance qui ont prit un chemin different, malgré un passé commun.


un défaut dans mystic river,...je reve....herethique vas

La Fouine, dans mes bras !!



'Tain... Tout n'est pas définitivement niqué de la gamelle au royaume des iXiens ! Une lueur subsiste...

L'Exorciste, Heat et Deliverance sur la même étagère que Apocalypse Now...


vous pouvez rajouter : jardin de pierre et dans un autre genre : full metal jacket

Qyd a écrit:

La Fouine, dans mes bras !!



'Tain... Tout n'est pas définitivement niqué de la gamelle au royaume des iXiens ! Une lueur subsiste...

Fais qq chose QYD, ne laisse pas se garçon partir vers le côte obscure, sinon bientôt, il affirmera que "one million dollars baby" est un vulgaire téléfilm juste bon à comblé les apres-midi de M6.

C'est homme est sur la pente de la decheance, trop de travail, de pression ??????

Sauron, tu sera sauver malgré toi

et le sujet était .......


"Into the wild"................


@Qyd : mais qu'est-ce que tu peux prendre comme motards dans tes bras toi

pas de souci sauron; pour moi on discute sereinement.
heureusement qu'on a pas tous le même avis, sinon on serait vite des robots

je te rejoins sur certains points, notamment le côté égoiste du personnage

mais quand même je trouve tjs le film magnifique

ben ouais je l'avoue... chuis pas comme ça mais là j'ai lâché une petite larme à la fin




je suis une femme sensible

maya a écrit:

@Qyd : mais qu'est-ce que tu peux prendre comme motards dans tes bras toi

T'as raison. Je ne peux pas, humainement, te demander de comprendre cela.




PS : et une à Dark' pour avoir déterrer le très beau et très poignant Jardin de Pierre de Coppola, un film à peu près méconnu dans nos contrées... à l'inverse du Full Metal Jacket de Kubrick, sûrement l'un de ses films les plus bancals, à l'image du roman assez pauvre qui l'a inspiré.

[quote="Qyd"]

maya a écrit:

@Qyd : mais qu'est-ce que tu peux prendre comme motards dans tes bras toi

T'as raison. Je ne peux pas, humainement, te demander de comprendre cela.






C'est vraiment un truc que je ne vis pas donc ça m'échappe un peu... c'est vrai....

Pitin de sa race, on parle cinéma ici pas homophobie provinciale ou machisme parisien.

Et la vallée d'elah, c'est pas du cinema ça ! et collision c'est pas bo minimaliste, remarquablement joué ! Vous me faites goleri avec le bo sean qui tape les femmes, a coté de matt dillon c'est une crotte.

Sur mystic river, je reste ferme, 10' epoustouflante et le reste, ben le reste c'est de trop. Trop joué, trop de bruit, putain, quand a la fin les deux survivant souris, t'a juste envi de dire que tout s'effondre de cette construction. Ce n'est pas vrai qu'apres cela on sourit. Dans ce coup la, la tregedie grec, c'est raté.

Vive moi, vive mes avis, a mort la pensée unique comme ondit sur radio courtoisie

La si quelqu'un manque de second degré, je vais me faire lapidé.

Allez dans les récents :

- La vallée d'Elah.. effectivement..
- Américan gangster
- Un secret
- La Mome
- Le Serpent
- Cortex
- Ne le dis à personne


des trucs de filles évidemment... .. donc surement de belles daubes pour pas mal d'entre vous....

6 daube, un chef d'oeuvre, tous n'est pas perdu le bourdon

Moi à part The wall...

jsuis bien daccord COLISION is the movie !!!

Qyd a écrit:

maya a écrit:

@Qyd : mais qu'est-ce que tu peux prendre comme motards dans tes bras toi

T'as raison. Je ne peux pas, humainement, te demander de comprendre cela.




PS : et une à Dark' pour avoir déterrer le très beau et très poignant Jardin de Pierre de Coppola, un film à peu près méconnu dans nos contrées... à l'inverse du Full Metal Jacket de Kubrick, sûrement l'un de ses films les plus bancals, à l'image du roman assez pauvre qui l'a inspiré.

et oui jardin de pierre tres peu connu a mon gout

full metal comme orange mecanique => du kubrick completement decalé

mais le langage du sergent instructeur est quand meme top dans full metal

dans orange mecanique melanger de la grande musique avec autant de violence gratuite

Angel a écrit:

Moi à part The wall...

Pas grave. On te réveillera à la sortie.

Mon bon Sauron,
Bien que n'ayant toujours pas vu le film, ce qui me semble être en jeu dans Into the Wild c'est la question du renoncement au monde. Or, bien qu'il soit facile de dauber à l'infini sur l'histoire d'un fils à sa mère qui pète suffisament un boulard pour aller se laisser crever quelque part dans le Grand Nord, n'y a-t-il pas cependant comme un écho avec :

- ces hordes d'ados qui croupissent dans les consultations psy tant qu'on réussit à les empêcher de se foutre par la fenêtre,
- leurs frères et soeurs qui ne peuvent plus mettre un pied devant l'autre s'en s'allumer un spif,
- leurs parents, qui eux, légalistes qu'ils sont, préfèrent une bonne prescription de cachetons pour tenir le coup,
- un monde entièrement dominé par la marchandise et le spectacle où les dernières idéologies ou religions ont du mal à servir de cache-sexe à une bande d'allumés assoiffés de pouvoir ?

Et donc, dans le refus de ce monde-là, dans la recherche de quelque chose d'essentiel, quelque chose qui fonde la vie elle-même, qui ne l'explique ni la justifie, mais simplement qui permet de toucher à son essence, à faire le simple constat qu'elle EST, l'une des solutions - et pas forcément la plus stupide - ne consiste-t-elle pas à se choisir un coin peinard, à s'assoir, à contempler et à rester là ? Quitte à en mourir ?

Et, pour en finir rapidement, n'est-ce pas cette démarche-même, qui se trouve au coeur du message du Christ, comme de celui du Bouddha ?

"Rendre à César ce qui est à César"
"Mon Royaume n'est pas de ce monde"
"Tout n'est qu'illusion"



Accessoirement : "Own the corners"...

Rieux aussi ça part d'un bon sentiment.
De surcroit,il n'a même pas eu l'intelligence d'inventer le story board vu que c'est une histoire vrai

conclusion

into the wild c'est comme rieux qui interprete du vivaldi
une mauvaise idée ratée cqfd

quand au christ, boudha ... je te laisse à tes méditations, il me semble qu'historiquement, c'est toujours quand l'humanité est au plus mal qu'elle se tourne vers ses textes a la fois fondateurs dans le fond et éculés dans la forme

J'ai pas dit enculé

Addendum, x'est toujours ceux qui non pas fait la guerre qui ont le plus d'idées la concernant

J'oubliais ...

cette histoire est effectivement un cas d'espèce, une expérience métaphysique qui va chercher au plus profond de l'être, une adéquation entre: individu / société / noyau familial / vérité / mensonge / vivre
si on regarde bien, il sagit ni plus ni moins que la quête d'un humain pour trouver sa place dans ce monde mal en point. Un truc qui arrive à tout le monde quoi. Hors donc l'histoire choisi est exceptionnelle en ce point qu'elle relate l'expérience d'un toto qui va très mal, voir très très très mal. Le monde qui est le sien est aussi le notre, ses parents pourris sont aussi un peu notre. Un réalisateur dans ce cas de figure n'a de mon point de vue que peu de choix. Soit faire dans le minimalisme à la dersou ouzala. A savoir, comme quasiment seuls les japonais sont capables de le faire, de la nature, un humain, 3 phrases en deux heures et parvenir à créer un chef d'oeuvre sur l'individu. Autre choix, situation exceptionnelle, epoque de tourmente, capitaine conan, bertrand tavernier, eblouissant sur la place de l'individu dans l'excptionnel sa survie, son desespoir, sa mort honteuse.

Le bo cheeune, il n'a rien reussi de tout cela, je dis bien woualou.

style :

Après la pluie
After the Rain, When the Rain Lifts
Ame agaru


Un film de Takashi Koizumi

Japon, entre 1716 et 1735, un samouraï sans maître et sa femme, dans une maison en bois attendent avec des villageois que la pluie cesse de tomber pour pouvoir passer un fleuve. Le samouraï, pour apporter à manger à ses nouveaux "compagnons" d'infortune, va se battre pour de l'argent, ce qui est indigne de son rang. Il pourrait devenir le nouveau maître d'arme du responsable de la région mais se battre pour de l'argent est vraiment trop indigne

un grand moment de bonheur