Comme d'hab c'était top. Des belles meules, des meules rares, des meules qui prouvent que dans l'utilisation du moteur à explosion, il y a le mot explosion, une bonne odeur d'huile de ricin bref, rien à voir avec la transition écologique.
Un plateau de qualité
Avec la Jacki mobile au premier plan sur base de moteur Jap. Mais malheureusement, une sombre histoire de pompe à huile qui ne pompait pas ce qu'il fallait ou il fallait, l'a empêché de concourir.
Sauras tu trouver le buelliste sur la photo?
Les pistards c'est comme les chiens, ca se renifle la rondelle
Là on sait pas si la moto est petite ou si c'est le pilote qui a trop profité pendant le confinement
,
Une Norton, avec, cherry on the cake, un compresseur.
Y'a rien de trop .
Une Seeley, y'a pas à dire c'est pas laid
Ou l'anachronisme mécanique, on s'en fout, l'essentiel étant que la pièce soit belle. Triton forever
La Jawa d'ice race de Marco R, déjà vue l'an dernier, moteur gavé au méthanol, faut bien ça. Notez la boite 2 vitesses, on engage la première, la deuxième étant préengagée on touche pas à ce qui pourrait ressembler à un sélecteur mais qui n'en est pas un.
Jawa qui démarre à l'aide d'un démarreur de poche, en prise directe sur le vilo.
Les tchécoslovaques, ca aime pas se mélanger, alors ça court contre une autre base Jawa, fabriquée par Mécatwin, avec le boss himself à son guidon. Splendide.
Et ensuite, ben gaaaaaaz, dans un barouf à faire sauter les plombages
Les runs c'est bien, mais dès fois ça se passe mal. Entre les supports qui pètent pendant le run, les reniflards qui pissent l'huile (de profundis la Norton à compresseur), nous avons eu un champion. Victoire incontestée de la Triumph qui a explosé, la bielle découpant artistiquement le carter sur un tour complet. Si si, je vous jure.
Cette meule est pourtant célèbre, c'est une T 110 de 1955 qui est allée tirer des boulets sur le lac salé à Bonneville, USA, (normal pour un Triumph) avec Marco à son guidon il y a quelques années.
Après la casse, elle est un poil moins fringante
Les chirurgiens ayant décidé d'opérer directement dans le paddock, on découvre l'artistique découpe du carter faite par la bielle.
Bref, une journée comme on en aimerait plus souvent.